Nous informons tous les internautes qui nous suivent, que le résultat de l’observation de toutes les équipes de l’APBIF nous est parvenu. Aucune des équipes n’a pu voir le croissant lunaire du mois de Ramadan après le coucher du soleil du samedi 4 mai 2019. Pour certaines équipes, l’observation a été gênée par les nuages. […]
Voici la traduction de quelques paroles de savants de l’Islam des quatre voies de jurisprudence prouvant l’interdiction unanime de déterminer le début des mois lunaires par le calcul, quelle que soit sa précision.
La détermination du début du mois de Ramadan et des autres mois lunaires est fondée sur l’observation du croissant lunaire à l’œil nu dans les villes, les villages et les campagnes. Il n’y a aucune considération à apporter aux paroles de ceux qui veulent que nous nous basions sur les calculs des trajectoires des astres pour déterminer le début du jeûne et la venue de ^Id Al-Fitr.
La détermination des horaires de prières est un sujet très important dans la religion. Elle permet aux actes d’adoration que sont la prière et le jeûne d’être valables. Les savants musulmans ont donc fourni un effort important pour observer les horaires de prières et les déterminer dans les différentes régions, par souci de préserver la religion des musulmans.
En 2013, les partisans du calcul pour déterminer le début et la fin du mois de Ramadan avaient semé la discorde et troublé les musulmans. Cette année encore, ils récidivent en prétendant vouloir unir les musulmans, sur un chemin qui est pourtant à l’opposé de celui du Messager.
