بِــــــــــــــــــسمِ اللهِ الرَّحمنِ الرَّحِيــــــــــــــــــــــم
Je commence par le nom de Allah, Celui Qui accorde Sa miséricorde à toutes les créatures dans le bas monde mais aux seuls croyants dans l’au-delà, Celui Qui accorde beaucoup de miséricordes aux croyants
الحَمدُ للهِ رَبِّ العَالَمِين
La louange est à Allah le Seigneur des mondes,
والصَّلاةُ والسَّلامُ عَلى سَيِّدِنَا مُحَمَّدٍ رَسُولِ اللهِ
Que l’honneur et l’élévation en degrés soient accordés à notre maître Mouhammad le Messager de Allah, ainsi que la préservation de sa communauté de ce que le Prophète craint pour elle.
Khoutbah n°868
Discours du vendredi 13 mai 2016 correspondant au 06 cha^ban 1437 de l’Hégire
Rappelez quoi dire à vos morts
Mes frères de foi.
La louange est à Allah, nous Le louons, nous Le remercions, nous recherchons Son aide, nous demandons à Allah de nous préserver du mal de nos âmes et de nos mauvaises œuvres, celui que Allah guide nul ne peut l’égarer et celui qu’Il égare nul ne peut le guider.
Je témoigne qu’il n’est de dieu que Allah, qu’il est le dieu unique et qu’Il n’a pas d’associé, ni de semblable, ni d’opposé, ni d’équivalent, qu’Il est Allah celui Qui est Unique, Celui Qui ne se divise pas, Celui Qui n’a besoin de rien, Celui Qui n’engendre pas et Qui n’est pas engendré, Celui Qui n’a point d’équivalent.
Je témoigne que notre maître et notre bien-aimé, notre éminence et notre guide, la cause de notre joie, notre maître Mouhammad est l’esclave de Allah et Son Messager, celui qu’Il a élu et qu’Il agrée le plus, celui que Allah a envoyé en tant que miséricorde pour les mondes, en tant qu’annonciateur de bonne nouvelle et avertisseur d’un châtiment, qu’il a transmis le message et s’est acquitté de ce qui lui a été confié, qu’il a porté le conseil à la communauté, que Allah le rétribue pour nous du meilleur de ce dont Il a rétribué l’un de Ses prophètes. Ô Allah honore et élève davantage en degré notre maître Mouhammad ainsi que sa famille et ses compagnons bons et purs.
Chers frères de foi, je vous recommande, ainsi qu’à moi-même, de faire preuve de piété à l’égard de Allah, Lui Qui dit dans Son Livre dans sourat Az–Zoumar /30 :
﴿ إِنَّكَ مَيِّتٌ وَإِنَّهُمْ مَيِّتُونَ ﴾
(‘innaka mayyitoun wa’innahoum mayyitoun)
« Certes, [ô Mouhammad la plus honorable des créatures, celui que Allah agrée le plus], tu vas mourir et eux aussi vont mourir. »
Al-Hakim a rapporté dans Al-Moustadrak que Jibril ^alayhi s-salam est venu au Messager de Allah salla l-Lahou ^alayhi wasallam et lui a dit :
(( يا محمدُ عِشْ ما شِئْتَ فإنك مَيِّتٌ وأَحْبِبْ مَن شِئْتَ فإنك مُفارِقُه ))
(ya Mouhammad, ^ich ma chi’ta fa’innaka mayyitoun wa’ahbib ma chi’ta fa’innaka moufariqouh)
« Ô Mouhammad, quel que soit l’âge que tu vas vivre, tu vas mourir et quel que soit l’amour que tu portes à quelqu’un, tu vas le quitter. »
Allah tabaraka wata^ala ne nous a pas créés dans ce bas monde pour y rester éternellement sans mourir. Il ne nous a pas créés pour manger et boire et nous plonger dans les désirs et les plaisirs. Il nous a créés pour nous ordonner de L’adorer, tout comme Allah le dit dans le Qour’an Honoré :
﴿ وَمَا خَلَقْتُ الْجِنَّ وَالْإِنْسَ إِلَّا لِيَعْبُدُونِ ﴾
[sourat Adh-Dhariyat / 56] (wama khalaqtou l-jinna wal-‘inça ‘il-la liya^boudoun)
« Je n’ai créé les jinn et les humains que pour leur ordonner de M’adorer. »
L’homme qui s’est remis en cause, qui a demandé des comptes à lui-même, qui a œuvré pour ce qui vient après la mort, c’est lui qui est intelligent et perspicace. Celui qui est insensé, c’est celui qui suit les désirs de son âme, qui outrepasse les limites fixées par Allah ta^ala et qui commet des choses que Allah a interdites, qui tombe dans les péchés puis souhaite que Allah lui accorde du bien dans l’au-delà.
Mon frère musulman, ne te laisse pas méprendre par ta grande fortune et ta grande famille. D’après ‘Anas Ibnou Malik, que Allah l’agrée, le Messager de Allah salla l-Lahou ^alayhi wasallam a dit :
(( يتبع الميِّتَ ثلاثةٌ أهلُه ومالُه وعَمَلُه فيرجع اثنانِ ويبقى معه واحدٌ يتبعه أهلُه ومالُه وعَمَلُه فيرجع أهلُه ومالُه ويبقى عَمَلُه ))
[rapporté par Al-Boukhariyy et Mouslim] (yatba^ou l-mayyita thalathah fayarji^ou thnani wayabqa wahid yatba^ouhou ‘ahlouhou wamalouhou wa^amalouh fayarji^ou ‘ahlouhou wamalouh wayabqa ^amalouh)
« Trois choses accompagnent le mort, deux s’en retournent et une seul reste avec lui : sa famille, ses biens et ses œuvres l’accompagnent, puis sa famille et ses biens s’en retournent et ses œuvres restent avec lui. »
Fais en sorte que ton principal souci soit tes œuvres : s’il s’agit de bonnes œuvres, tu en seras rétribué en bien, s’il s’agit de mauvaises œuvres, tu te seras exposé au châtiment de Allah. C’est pour cela qu’il est recommandé de s’empresser de procéder à l’enterrement des morts.
Al-Boukhariyy a rapporté que le Messager de Allah salla l-Lahou ^alayhi wasallam a dit :
(( أسرِعوا بالجنازةِ فإن تَكُ صالحةً فخيرٌ تُقدِّمونها إليه وإن تَكُ سِوى ذلك فشرٌّ تَضَعونه عن رِقابِكم ))
(‘asri^ou bil-jinazah fa’in takou salihatan fakhayroun touqaddimounaha ilayhi wa’in takou siwa dhalika facharroun tada^ounahou ^an riqabikoum)
« Empressez-vous d’accomplir les funérailles ; s’il s’agit de quelqu’un qui aura un bien, vous aurez accéléré sa rencontre avec le bien, et s’il en est autrement, c’est un mal dont vous vous serez déchargés. »
Lorsque l’homme meurt et qu’il est emporté sur les épaules pour être enterré, son âme se tient au-dessus de la civière. L’âme du croyant pieux, tant elle est heureuse, tant elle a hâte de profiter de la félicité de la tombe qu’elle a su et à laquelle elle a cru dans le bas monde, son âme dira : « Emmenez-moi vite ! Emmenez-moi vite ! » Quant à l’âme des mécréants, elle dira : « Retardez-moi ! Retardez-moi ! »
Le convoi funéraire, chers frères de foi, est une occasion pour méditer, pour tirer des leçons de morale. Il est déconseillé pour celui qui l’accompagne, de bavarder sur les sujets du bas monde. Il est recommandé de marcher en silence, en méditant sur la mort et ce qui la suit, sur la fin de cette vie du bas monde. Il est recommandé de s’occuper à réciter le Qour’an, d’évoquer Allah à voix basse, car ceci aide mieux à se concentrer sur ce qui a trait au convoi funéraire.
Les gens de science ont dit que toutefois, il n’y a pas de mal à lever la voix en faisant du dhikr derrière le convoi funéraire, si cela peut empêcher que des gens médisent sur le mort et ses héritiers, ou prononcent les mauvaises paroles qui proviennent de certains dans cette époque.
Sachez, que Dieu vous fasse miséricorde, que parmi les choses qui profitent au croyant sur son lit de mort, il y a ce qu’a rapporté Mouslim, d’après Abou Hourayrah, que Allah l’agrée, que le Messager de Allah salla l-Lahou ^alayhi wasallam a dit :
(( لقِّنوا مَوتاكم لا إِلـٰهَ إلّا اللَّهُ ))
(laqqinou mawtakoum la ‘ilaha ‘il-la l-Lah)
« Rappelez à vos morts de dire la parole “il n’est de dieu que Dieu”. »
Et dans la version de At–Tabaraniyy, il y a un ajout :
(( لو جُعِلت لا إِلـٰهَ إلّا اللهُ في كفّةٍ وجُعلت السمواتُ والأرضُ في كفّة لرجحت لا إِلـٰهَ إلّا اللهُ))
(law jou^ilat la ‘ilaha ‘il-la l-Lahou fi kaffatin wajou^ilati s-samawatou wal-‘ardou fi kaffah larajjahat la ‘ilaha ‘il-la l-Lah)
« Si on plaçait “la ‘ilaha ‘il-la l-Lah” sur le plateau d’une balance et les cieux et la Terre sur l’autre plateau, ce serait le plateau de « la ‘ilaha ‘il-la l-Lah » qui l’emporterait. »
Et dans le Sahih de Ibnou Hibban, attribué au Prophète salla l-Lahou ^alayhi wasallam :
(( لقِّنوا مَوتاكم لا إِلـٰهَ إلّا اللَّهُ فإنه من كان آخرَ كلمته لا إلـه إلّا اللَّهُ دخل الجنة يوما من الدهر وإن أصابه قبل ذلك ما أصابه ))
(laqqinou mawtakoum la ‘ilaha ‘il-la l-Lah fa’innahou man kana ‘akhira kalimatihi la ‘ilaha ‘il-la l-Lahou ^inda l-mawti dakhala l-jannata yawman mina d-dahri wa’in ‘asabahou qabla dhalika ma ‘asabah)
« Rappelez à vos morts de dire la parole la ‘ilaha ‘il-la l-Lah car celui dont la dernière parole avant de mourir aura été la ‘ilaha ‘il-la l-Lah ira au Paradis un jour à venir même s’il subit auparavant ce qu’il subit. »
Il a été rapporté que notre maître ^Outhman Ibnou ^Affan, que Allah l’agrée, a dit :
( إذا احتُضِرَ الميّتُ فلَقِّنوه لا إلـٰه إلّا اللَّهُ فإنه ما من عبدٍ يُختَم له بها عند موتِه إلّا كانت زادَه إلى الجنّة )
(‘idha-htoudira l-mayyitou falaqqinouhou la ‘ilaha ‘il-la l-Lahou fa’innahou ma min ^abdin youkhtamou lahou biha ^inda mawtihi ‘il-la kanat zadahou ‘ila l-jannah)
« Lorsqu’un mort agonise, rappelez-lui de dire la ‘ilaha ‘il-la l-Lah car il n’est pas un esclave qui finisse sa vie avec cette parole sans qu’elle lui soit une provision jusqu’au Paradis. »
Il a été rapporté de notre maître ^Oumar Ibnou l-Khattab, que Allah l’agrée, qu’il a dit :
( احْضُرُوا مَوْتَاكُمْ وَذَكِّرُوهُمْ فَإِنَّهُمْ يَرَوْنَ مَا لَا تَرَوْنَ وَلَقِّنُوهُمْ : لَا إِلَـٰهَ إِلَّا اللَّهُ )
[rapporté par Ibnou Abi d-Dounya] (‘ouhdourou mawtakoum wadhakkirouhoum fa’innahoum yarawna ma la tarawna walaqqinouhoum la ‘ilaha ‘il-la l-Lah)
« Soyez aux côtés de vos morts, faites-leur le rappel, car ils voient ce que vous ne voyez pas, et rappelez-leur de dire “la ‘ilaha ‘il-la l-Lah”. »
La Sounnah, chers frères de foi, pour rappeler à celui qui agonise, c’est que la personne qui l’aime le plus reste à ses côtés et lui dise “la ‘ilaha ‘il-la l-Lah” et il répète. Si celui qui est en train de mourir la répète, alors celui qui la lui a soufflée se tait et ne lui dit rien du tout après cela, de sorte que ce soit sa dernière parole. Il ne lui dit pas (Dis : “la ‘ilaha ‘il-la l-Lah”) mais il le fait comme nous l’avons indiqué. Il ne convient pas à celui qui souffle d’insister quand il va lui demander mais qu’il agisse avec douceur, parce qu’il se peut que la langue de celui qui est malade ne lui réponde pas et que cela lui soit difficile et que cela l’emmène à ne pas supporter ce qu’on lui demande de faire et on craint que ce soit une cause qu’il ait un mauvais état lors de la mort.
Sachez, mes bien-aimés pour l’agrément de Dieu, que la Sounnah lorsque le croyant est enterré dans sa tombe est de souffler la réponse à dire [à l’interrogatoire de la tombe]. Le Messager de Allah salla l-Lahou ^alayhi wasallam a dit :
( إِذَا مَاتَ أَحَدٌ مِنْ إِخْوَانِكُمْ فَسَوَّيْتُمُ التُّرَابَ عَلَى قَبْرِهِ فَلْيَقُمْ أَحَدُكُمْ عَلَى رَأْسِ قَبْرِهِ ثُمَّ لِيَقُلْ : يَا عبدَ اللهِ بْنَ أمةِ اللَّهِ فَإِنَّهُ يَسْمَعُ وَلا يُجِيبُ ثُمَّ يَقُولُ الثانيةَ فَإِنَّهُ يَسْتَوِي قَاعِدًا ثُمَّ يَقُولُ الثالثةَ فَإِنَّهُ يَقُولُ : أَرْشِدْنا رَحِمَكَ اللَّهُ وَلَكِنْ لا تَسْمعُونَ )
(‘idha mata ‘ahadoukoum fasawwaytoum ^alayhi t-touraba falyaqoum ‘ahadoukoum ^ala ra’si qabrihi thoumma yaqoul : ya ^abda l-Lah bna ‘amati l-Lah fa’innahou yasma^ou wala youjib thoumma yoqoulou th-thaniyata fa’innahou yastawi qa^idan thoumma yaqoulou th-thalithata fa’innahou yaqoul ‘archidna rahimaka l-Lah walakin la tasma^oun)
« Lorsque l’un d’entre vous meurt et que vous avez comblé la tombe alors que l’un d’entre vous se tienne au niveau de sa tête et lui dise : Ô toi Untel esclave de Dieu fils de Unetelle esclave de Dieu, car il va entendre et ne répond pas, c’est-à-dire il ne pourra pas répondre, puis il l’appelle une seconde fois, il va alors s’asseoir dans sa tombe, puis il l’appelle une troisième fois, il va lui dire à partir de sa tombe : guide-nous, que Dieu te fasse miséricorde et vous n’entendez pas ce qu’il vous dit. »
Et dans une autre version :
( فَلْيَقُلِ : اذْكُرِ العهدَ الذي خَرَجْتَ عَلَيْهِ مِنَ الدُّنْيَا شَهَادَةَ أَنْ لا إِلَـٰهَ إِلّا اللَّهُ وَأَنَّ مُحَمَّدًا رَسُولُهُ وَأَنَّكَ رَضِيتَ بِاللَّهِ رَبًّا وَبِالإِسْلامِ دِينًا وَبِمُحَمَّدٍ نَبِيًّا وَبِالْقُرْآنِ إِمَامًا )
(falyaqoul ‘oudhkouri l-^ahda l-ladhi kharajta ^alayhi mina d-dounya chahadata ‘an la ‘ilaha ‘il-la l-Lahou wa’anna Mouhammadan raçoulouhou wa’annaka radita bil-Lahi rabban wabil-‘islami dinan wabiMouhammadin nabiyyan wabil-Qour’ani ‘imama)
« Qu’il lui dise : rappelle-toi de l’engagement que tu avais pris avant de quitter ce bas monde, du témoignage qu’il n’est de dieu que Dieu et que Mouhammad est le Messager de Dieu, que tu avais accepté Allah pour Seigneur, l’Islam pour religion, Mouhammad pour prophète et le Qour’an pour guide. »
Le hafidh Al-^Asqalaniyy a dit : « Ad–Diya’ l’a jugé fort dans ses ‘Ahkam. »
C’est une Sounnah également de réciter sourat Yaçin pour le mort. At–Tabaraniyy a rapporté que le Messager de Allah salla l-Lahou ^alayhi wasallam a dit :
(( ويـٰس قلبُ القرآنِ لا يقرؤها رجلٌ يريد اللَّهَ والدارَ الآخرة إلّا غفر له واقرؤوها على موتاكم ))
(waYaçin qalbou l-Qour’ani la yaqra’ouha rajouloun youridou l-Laha wad-dara l-‘akhirati ‘il-la ghafara lahou waqra’ouha ^ala mawtakoum)
« Yaçin est le cœur du Qour’an, pas un homme ne la récite en recherchant l’agrément de Dieu et l’au-delà sans qu’il ne lui soit pardonné ses péchés ; récitez-la pour vos morts. »
Ainsi, on la récite pour celui qui agonise, ainsi que pour celui qui est mort. Car le terme arabe mawtakoum traduit par « vos morts » englobe les deux. Notre Seigneur tabaraka wata^ala dit :
﴿ إِنَّكَ مَيِّتٌ وَإِنَّهُمْ مَيِّتُونَ ﴾
[sourat Az–Zoumar / 30] (‘innaka mayyitoun wa’innahoum mayyitoun)
« Certes, [Ô Mouhammad, la plus honorable des créatures, celui que Allah agrée le plus], tu vas mourir et eux aussi vont mourir. »
Alors réveille-toi, toi qui est dans l’insouciance, réveille-toi car tu vas mourir. Aujourd’hui tu vas rappeler quoi dire à un mort mais peut-être que demain ce sera à toi qu’on va le rappeler. Aujourd’hui tu portes une civière et demain ce sera toi qui seras porté. Aujourd’hui tu enterres un mort et demain ce sera peut-être toi qui seras enterré. Médite, toi l’être humain, et vérifie ce que tu as préparé pour l’au-delà.
Ô Allah accorde-nous une fin heureuse. Ô Allah fais-nous mourir sur la foi complète. Fais que notre dernière parole soit la ‘ilaha ‘il-la l-Lah Mouhammadoun raçoulou l-Lah et fais que nous vivions sur cette parole, que nous mourrions en la répétant et que nous soyons ressuscités en la disant, si Dieu le veut, sains et saufs et apaisés, ô Toi Qui est tout puissant et Qui n’est pas vaincu, ô Toi Qui domine tous les êtres par la contrainte de la mort, ô Toi Qui accorde beaucoup de miséricorde aux croyants, ô Toi Qui accorde beaucoup de pardon. Et notre dernière invocation est Al-hamdou lil-Lahi Rabbi l-^alamin, la louange est à Dieu le Seigneur des mondes.
Après avoir tenu mes propos, je demande que Allah me pardonne ainsi qu’à vous-mêmes.