Découvrez le chant : محمد طيب المعشر Mouhammad, quelle belle compagnie que la sienne !
Nous vous encourageons à écouter ce chant dans un cadre serein, les lumières tamisées et votre cœur concentré. Que la profonde révérence pour le Meilleur être créé, le Messager de Dieu, Mouhammad fils de ^Abdou l-Lah, le Qourachiyy, le Hachimiyy, l’Arabe, remplisse votre cœur.
Pour préserver la sincérité des émotions et de l’expression, la voix du chanteur a été enregistrée spontanément sans aucune modification ni correction.
Les scènes présentées ont été produites spécifiquement pour cette vidéo. Ce sont une simulation de la réalité, et non des scènes réelles, et ne correspondent donc pas à la réalité.
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Traduction du chant en français
Un tronc sec, longuement, gémit et pleura, de désir et de nostalgie pour le Messager de Dieu
Et ce tronc était un objet inanimé… sans âme.
Pourtant Dieu a créé en lui ce gémissement, ce désir ardent, ce pleur de nostalgie pour le Messager de Dieu
Nous sommes prioritaires sur le tronc pour exprimer notre nostalgie pour le Messager de Dieu.
Mouhammad, majestueux et vénéré, Son nom seul, lorsqu’il est prononcé, inspire la crainte d’un mois tout entier
Si seulement je pouvais vivre à côté de lui, Et savourer la douceur de sa compagnie…
Ma journée commencerait au moment où je m’éveille, avant lui, ouvrant les yeux
Et la première chose que mes yeux aperçoivent, c’est son visage qui me sourit chaleureusement
Me demandant à propos de ma nuit… Car il sait bien que j’étais fatigué
Il sent tout ce que j’ai souffert… Il passe doucement sa main sur ma poitrine
Invoquant le Créateur des mondes… Et dans son toucher, je ressens de la tendresse
Je vois des dattes et l’entends dire, « Mange ces dattes », je les mange
sept dattes de sa main. Puis il se lève et trait la chèvre, M’apportant du lait à boire
Je bois le lait
Alors qu’il prend soin de moi avec une attention pleine de douceur
Mouhammad, qu’elle est belle sa compagnie !
Que Dieu honore davantage Mouhammad et la famille de Mouhammad
Il revêt son vêtement blanc, se levant avec zèle pour nouer son turban
Un turban qui fait trembler les couronnes
Et il se parfume et s’embaume de douceur
Il me demande si je suis prêt à partir de la maison avec lui
Pour passer et saluer les compagnons bien-aimés, je réponds : je suis prêt et paré
Marcher avec le plus honorable de tous les maîtres
Mouhammad, qu’elle est belle sa compagnie !
Si je ne cherche pas toujours refuge dans votre protection,
Alors vers qui me tournerai-je, et en qui puis-je trouver un refuge ?
Que Dieu ne fasse jamais souffrir l’œil qui est resté éveillé pour vous dans la peine,
désirant votre proximité, ô voisins de (la montagne) Al-^Alam
Nous partons à la rencontre de ses compagnons, et je suis surpris de ce que je vois
Ils nous attendaient tous, nous rencontrant au seuil de la porte
Je vois le sourire sur ses lèvres, et ses yeux brillant d’amour
Car il a vu Abou Bakr, son bien-aimé et compagnon dans la grotte
Et là se tient Al-Farouq à côté de lui, une montagne qu’aucune tempête ne peut ébranler
Et Dhou n-Nourayn, timide et modeste, d’une pudeur qui fait rougir les lunes
Qui a un père comme le mien — ^Aliyy, le Lion (Haydarah) ?
Et à côté de lui se tient son cousin, leur chevalier, ^Aliyy le vaillant
Sont également debout ^Amir (ibn Abi Waqqas) et ^Ammar (ibn Yacir), Talhah (ibn ^Oubaydi l-Lah) et Ja^far (ibn Abi Talib) le voltigeur
Et Sa^d (ibn Abi Waqqas), Sa^id (ibn Zayd), et Dirar (ibn Al-‘Azwar), Hamzah (ibn ^Abd Al-Mouttalib) le briseur d’ennemis
Ibn ^Awf (^Abdou r-Rahman), seigneur de la maison, et le disciple de Taha le compagnon dévoué (Az–Zoubayr Ibn Al ^Awwam)
Et le digne de confiance de la communauté pieuse (Abou ^Oubaydah Ibn al-Jarrah)
Tous aspirant à la compagnie du Messager de Dieu, leur maître
Mouhammad, qu’elle est belle sa compagnie !
Mouhammad est le maître des deux mondes, des hommes et des djinns, ainsi que des deux groupes — Arabes et non-Arabes
Il est le bien-aimé dont on espère l’intercession face à chaque terreur parmi les terreurs accablantes
Le groupe s’en va avec lui, un nuage apparaît au-dessus pour l’ombrager
Les anges du ciel marchent derrière lui, tandis que nous marchons devant
Je m’accroche à celui qui est devant moi pour que mes pieds ne trébuchent pas,
Parce que je regarde en arrière, contemplant mon bien-aimé
Nous passons rendre visite à Abou Talhah, et son enfant Abou ^Oumayr est assis là-bas
Son petit oiseau est mort récemment, et il reste assis, attristé
Puis Taha vient le consoler, demandant doucement ce qui s’est passé
Il console l’enfant avec ses questions à propos de l’oiseau et des nouvelles de celui-ci
Que Dieu honore davantage Mouhammad et la famille de Mouhammad
Le soleil commence sa douce descente (depuis son point de culmination), alors que nous contemplons les ombres des chameaux s’étirer à travers le sable doré
Bilal se tourne vers moi avec un sourire chaleureux et complice, et dit, « cette fois, c’est toi qui feras l’appel à la prière»
Les gens arrivent à la mosquée, voici Al-Farouq, il y a As–Siddiq
Tant d’âmes m’entourent, la peur me dessèche la gorge
Je commence l’appel à la prière, ma voix faible et étranglée par le tremblement
Je regarde le Prophète en demandant une aide pour chasser la peur dans ma voix
Avec grâce, il ferme ses doux yeux, et de son côté, une brise s’élève
Je vocalise avec âme, ma voix prend son envol, une mélodie qui tremble de plaisir
Allahou ‘akbar (Dieu est le Plus Puissant), Allahou ‘akbar (Dieu est le Plus Puissant).
Il se tient pour nous diriger dans la prière du Dhouhr, J’entends son takbir
Le ton fait fondre mon cœur à nouveau, et je suis un expert des voix.
Je pense, « Ô mon Seigneur, un takbir a secoué ainsi mon âme
Et s’il dirigeait la prière du Maghrib ? La prière de la nuit est récitée à haute voix.
Que Dieu honore davantage Mouhammad et la famille de Mouhammad
L’amour de Taha est la lumière de mon cœur, l’éloge de ‘Ahmad est agréé par Dieu, Que Dieu t’honore, ô étendard de la guidée
Pardonnez-moi, ô Messager de Dieu, car mon éloge envers vous est insuffisante,
et cet (humble) esclave de Dieu admet la faiblesse de sa langue
(Car) tu es celui qui a le plus haut rang parmi les gens, et le meilleur de tous les messagers entièrement
Et ainsi le jour de rêve passe
Un jour devenu plus précieux que toute ma vie…
Et j’ai peur que ce que j’ai en tête arrive, et mon cœur est troublé.
La nuit tombe en un clin d’œil, et la lune marche à mes côtés
Et comment ne pas fixer, ne pas contempler ce visage béni que j’aime tant
Il dit, « demande maintenant avant de partir, » je sais — l’adieu commence à tisser
Mon cœur éclate, mon sang s’emballe, chaque veine porte un chagrin, chaque battement me trouble
Je sens un feu m’étrangler la gorge, mes sens vacillent, ma pression flotte
Je tombe dans ses bras et je suffoque— et je souhaite mourir avant l’adieu
Je pleure : Ô Messager de Dieu ! Tu vois, Le tronc de palmier a pleuré d’amour pour toi
Une bûche sans vie, sans âme ni souffle, pourtant, elle te désirait et pleurait pour toi
Je t’implore, ô Messager de Dieu, le tronc de palmier s’est langui de toi
Il n’arrêtait pas de pleurer, il n’arrêtait pas de pleurer, jusqu’à ce que tu le prennes dans tes bras
Alors que moi, je suis vivant, un fils de ‘Adam, je suis sensible… Ô Taha
C’est moi dont l’âme s’est attachée à chaque particule de ton être
C’est moi dont la vie a été consacrée pour toi, qui ai laissé le monde entendre mes plaintes
C’est moi qui ai chanté des louanges pour toi, tout cela, pour toi, rien que pour toi…
Ô Messager de Dieu, j’ai de l’espoir
et je sais bien combien de fois j’ai trébuché et échoué
Je sais que mes erreurs sont graves
tandis que le tronc ne portait aucun péché du tout
Je vous en supplie, ô Messager de Dieu, le tronc de palmier vous languissait.
Vous êtes noble, fils de nobles. Je vous en prie, laissez-moi rester à vos côtés.
Je vous implore, ô Messager de Dieu, le tronc de palmier vous a désiré.
Je vous en supplie, ô fils des nobles, je vous en supplie, laissez-moi rester à vos côtés.
je fonds d’amour pour toi, et je ne peux supporter ta séparation.
Je passerais ma vie à servir vos sandales bénies, si seulement vous me laissiez rester à vos côtés.
Il pose sa main sur mon cœur.
et ma tête dans son étreinte, je le regarde
Le calme de la nuit est notre troisième compagnon.
et mes yeux restent fixés sur ses yeux
Je sens quelque chose m’envahir.
un calme immobile, paix et clarté
La tranquillité m’enveloppe.
le calme du cœur après ses plaintes
Il dit : « demande maintenant avant de partir… »
Je lui dis : le Paradis, ô Taha
te voir et être avec toi là-bas
Être avec toi dans cette demeure
Il me fait réciter le témoignage de foi, mot par mot.
et aussitôt ma langue devient lourde…
alors que mes larmes sont accompagnées d’un sourire
Et l’âme s’échappe tandis que je contemple son visage radieux et lumineux.
(Puissé-je le rencontrer le Jour du Rassemblement, Mouhammad, qu’elle est belle sa compagnie !)
En effet, ce jour-là est sérieux.
alors préparez des actes de bien et efforcez-vous
En effet, ce jour-là est sérieux.
alors préparez des actes de bien et efforcez-vous
Réussissent ceux qui se sont préparés,
avec les meilleures provisions et une pleine préparation.
كلمات أنشودة محمد طيب المعشر
جذع يبيس
حن وأن وبكى
شوقا واشتياقا لرسول الله ﷺ
وهذا الجذع جماد، جماد..
ليس له روح
لكن الله خلق فيه هذا الأنين والحنين والبكاء
شوقا لرسول الله ﷺ
فنحن أولى من جذع
أن نحن لرسول الله
محمد فخم ومفخم
واسمه بس لو ينقال
هيبة شهر يتسطر
ولو أني أعيش وياه
وذوق الصحبة والمعشر..
ويبدا يومي من أصحى
قباله، أفتح العينين،
ووجهه أول اللي تشوفه
عيني يبتسم ليا
ويسألني عن الليلة..
لأن يدري، كنت تعبان..
حاسس باللي كان بيا..
ويمسحلي على صدري..
ويدعو خالق الأكوان..
وحس بيده حنية..
أشوف التمر ويقول لي
كل التمرات، آكلها
سبع تمرات من يده
يقوم ويحلب العنزة
وأتناول لبن منها
يدللني على الراحات
محمد طيب المعشر..
اللهم صل على محمد وآل محمد
ويلبس ثوبه الأبيض
بهمة يقوم يتعمم،
عمامة ترجف التيجان
ويتطيب ويتعطر
ويسألني إذا ما كنت
جاهز نطلع من الدار
نمر نصبح الخلان
أقول له جاهز محضّر
أصاحب سيد السادات
محمد طيب المعشر
إن لم أكن في حماكم لائذا أبدا
بمن ألوذ ويرجى فيه معتصمي؟
لا عذب الله فيكم مقلة سهرت
تروم وصلكم يا جيرة العلم
نجي نطلع لأصحابه
واتفاجأ من اللي صار
كلهم كانوا ينتظرون
يلاقونا بباب الدار
وشوف البسمة في ثغره
وعينه تلمع من الشوق
ترى شافه لأبي بكر
حبيبه وصاحبه في الغار
وذا الفاروق من يمه
جبل ما يهزه الإعصار
وذو النورين مستحيي
حياء يخجل الأقمار
من له أب كأبي، علي حيدرة؟
وواقف يمه ابن العم
فارسهم علي الكرار
وواقف عامر وعمار
وطلحة وجعفر الطيار
وسعد وسعيد وضرار
وحمزة هازم الأشرار
وبن عوفٍ أمير الدار
وحواري طه المختار
وأمين أمة الأخيار
وكلهم يرتجي صحبة
رسول الله سيدهم
محمد طيب المعشر
محمد سيد الكونين والثقلين
والفريقين من عرب ومن عجم
هو الحبيب الذي ترجى شفاعته
لكل هول من الأهوال مقتحم
وينطلق الجمع وياه
وجات من فوقه غمامة
ملائكة السما بظهره
وحنا نمشي قدامه
وأمسك باللي قدامي
لاجل ما رجلي تتعثر
لأني ناظر للخلف
لمعشوقي أنا أنظر
نمرّ نزور أبو طلحة
وطفله بو عمير يكون
عصفوره قريبا مات
على طيره قاعد محزون
وييجي يونّسه طه
ويسأل شو اللي عنده صار
يواسي الطفل بسؤاله
عن العصفور والأخبار
اللهم صل على محمد وآل محمد
تزول الشمس (عن وسط السماء) ونراقب
ظلال النوق في الصحرا
ويضحكلي بلال يقول
أذن إنتَ هالمرة
وتيجي الناس للمسجد
هنا فاروق، هنا صديق
كثيرة الناس من حولي
رهبة نشفتلي الريق
وأبدا بالندا وصوتي
ضعيف وينخنق برجوف
وأنظر للرسول أبغى
مدد يقتل بصوتي الخوف
بهيبة يغمض عيونه
ومن صوبه تجي هبة
أجود واطلع بصوتي
ونغمة طلعتي عذبة
الله أكبر الله أكبر
يقوم يصلي بينا الظهر
وأسمع منه تكبيرات
نبرة ذوبتني ذوب
وآني أفهم الأصوات
وقول بنفسي يا الله
تكبيرة أثرت بيا
كيف لو صلى بي المغرب
صلاة الليل جهرية
اللهم صل على محمد وآل محمد
حب طه نور قلبي
مدح أحمد فيه قربي
صلى عليك الله يا علم الهدى
عذرا رسول الله
فإن المدح فيك مقصر
والعبد معترف بعجز لسانه
فهو أعلى الناس قدرا
وهو خير الرسل طرا
ويمضي اليوم، يوم الحلم
يوم بعمري كله صار
وأنا خايف يصير اللي
ببالي وخاطري محتار
يحل الليل بطرفة عين
والقمر ماشي يمي
وما أقدر أشيل العين
عن وجهه بأبي وأمي
يقول اطلب قبل ما تروح
وأفهم أن وداعه حان
وييجي ينفجر قلبي
ويسخن فيّا كل شريان
أحس بحرقة في حلقي
ودوخة وينقشط ضغطي
وأوقع بين إيديه أشهق
وأتمنى أموت الآن
أقول له يا رسول الله،
جذع النخلة حنلك
وهو خشبة، وما فيه روح
خشب ميت، وحنلك
دخيلك يا رسول الله،
جذع النخلة حنلك
بقي يبكي بقي يبكي
حتى آويته بحضنك
وآني الحي، بني آدم
أنا الحساس.. يا طه
أنا اللي تعلقت روحي
بكل ذرة بكيانك
أنا اللي راح عمري فيك
وسمّعت الورى نوحي
وأنشدت المدايح ليك
عشانك إنت كرمالك
رسول الله لي أمل وإني
لأعلم كم زللت وما أصيب
وأعلم أن زلاتي كبار
وأن الجذع ليس له ذنوب
دخيلك يا رسول الله،
جذع النخلة حنلك
كريم انت ابن الكرام
دخيلك خليني يمك
دخيلك يا رسول الله،
جذع النخلة حنلك
دخيلك يا ابن الكرام
دخيلك خليني يمك
أنا والله ذايب فيك
وما أتحمل فراقك
أعيش عمري خدم نعليك
بس تخليني يمك
يحط يده على قلبي
وراسي بحضنه أنظر له
سكون الليل ثالثنا
وعيني ثابتة بعينه
أحس بشي، يحضرني
برد ساكن، سلام، وضوح
طمأنينة تلفلفني
سكون القلب بعد النوح
يقول اطلب قبل ما تروح
أقول له الجنة يا طه
أشوفك وأصحبك فيها
أكون وياك بسكناها
يلقني الشهادة وعيد
وراه كلمة بكلمة
وفورا يثقل لساني
ودمعي ترافقه بسمة
وتفيض الروح وانا أنظر
لوجهه المشرق الأنور
عسى ألقاه في المحشر
محمد طيب المعشر
إن ذاك اليوم جد
جهزوا خيرا وجدوا
فاز قوم قد أعدوا
خير زاد واستعدوا