At–Tabaraniyy et Abou Nou^aym ont rapporté que le Prophète, que Dieu l’élève davantage et qu’Il préserve sa communauté de ce qu’il craint pour elle, a dit :
مَنْ دَخَلَ عَلَى مَرِيضٍ فَقَالَ : أَسْأَلُ اللَّهَ العَظِيمَ ، رَبَّ العَرْشِ العَظِيمِ ، أَنْ يُعَافِيكَ ، إِلَّا عُوفِيَ مَا لَمْ يَحْضُرْ أَجَلُهُ
(man dakhala ^ala maridin faqala : ‘as’alou l-Laha l-^adhima Rabba l-^archi l-^adhimi ‘an you^afik. Il-la ^oufiya ma lam yahdour ‘ajalouh)
« Celui qui est entré chez un malade et a dit :
‘as’alou l-Laha l-^adhima Rabba l-^archi l-^adhimi ‘an you^afik
Alors le malade guérira sauf si le terme de sa vie est arrivé. »