Écrire un poème pour énumérer les qualités de notre Prophète salla l-Lahou ^alayhi wasallam est un acte méritoire. Les compagnons en écrivaient et le Prophète ^alayhi s--salatou wassalam les écoutait. A travers les siècles et depuis l’avènement de notre Prophète bien-aimé Mouhammad, plusieurs poèmes ont été écrits pour le louer.
Poèmes sur le Prophète Mouhammad
Chers internautes,
Nous tenons à vous remercier pour les nombreux poèmes manifestant votre amour pour le bien-aimé Prophète Mouhammad. Certes, l’amour du Prophète perdure dans le cœur des croyants et vos poèmes en témoignent.
Poème : j’ai peine à imaginer
Nous avons choisi un de vos poèmes, qui nous a particulièrement touché, pour en faire une vidéo par amour du Prophète Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wa sallam.
Découvrez ses magnifiques vers et leurs illustrations :
Titre : J’ai peine à imaginer
Paroles du poème:
J’ai parcouru de mes yeux le Salar d’Uyuni
Ce désert de sel, ce reste de mer asséché
Devant lequel le cœur et les yeux peinent à sécher
On peut être désemparé devant cette scène, devant ce vestige
Ou être emparé de tremblements, gagné par le vertige
Mais comment serais-je devant toi, ô Prophète. Je n’ose l’imaginer.
J’ai eu la chance de contempler les monts du Landmannalaugar
D’apprécier, au cœur du Sahara, les splendeurs pourpres du Hoggar
On peut être dérouté devant cette toile, être saisi, l’air hagard
Malgré l’admiration que l’on peut avoir à leur égard
Elle mourrait à l’instant où j’aurais posé sur toi mon regard
Le cœur peut fondre d’émotion devant le Perito Moreno
Ce roc de glace bleu aux couleurs du ciel
On peut être subjugué par sa beauté, par son élégance naturelle
Si ce bloc de glace froid peut réchauffer le cœur
Qu’en serait-il de ta chaleur, ô Prophète. Je n’ose imaginer
Le coucher du soleil sur le Grand Canyon peut bouleverser
Devant ces tons et ces nuances les émotions peuvent vous traverser
Tant les abîmes sont profonds et les horizons magnifiés
On peut être surpris et ressentir une force sur soi s’exercer
Mais qu’en serait-il devant toi, ô Prophète, J’ai peine à imaginer
Loin des terres fermes, entre mers fermes et banquise
Quand les yeux s’ouvrent face à ces couleurs qui vous paralysent
Lorsque les aurores boréales dans l’atmosphère se dessinent
On veut le partager tant leur éclat nous fascine
Mais qu’en serait-il si j’étais devant toi, ô Prophète. J’ai peine à imaginer.